En effet, il s'agit de mon interprétation des propos de madame Benraad.
En outre, je souhaite connaître votre sentiment à propos de Bachar el-Assad : devrions-nous avoir avec lui des contacts, comme certains de nos collègues qui l'ont rencontré, ou bien devons-nous continuer de l'ignorer ?
Enfin, certains se sont sentis blessés par les caricatures ; or, si les réactions qu'elles ont provoquées sont inacceptables, condamnables, n'y a-t-il pas des limites à la provocation, ainsi que je me l'étais demandé au lendemain des attentats de janvier 2015 ?