Monsieur Binet, je sais très bien ce que vous allez me rétorquer : vous allez utiliser le truc habituel du terrorisme intellectuel… Mais cela ne me fait vraiment rien. Vous pouvez me traiter de ce que vous voulez, moi, je vous parle au nom des Français que j’écoute, parfois des gens de gauche, vos électeurs, et qui n’en peuvent plus de passer derrière les nouveaux arrivés qui, eux, ont droit à toute toutes les allocations.