Il est, quoi qu’il en soit, rarement couvert à 100 % : beaucoup de gens n’ont pas accès à la gratuité des soins dont bénéficient un certain nombre d’étrangers. Et j’invite ceux qui voudront à m’accompagner derrière la gare Saint-Lazare : des centres de dialyse, qui offrent, deux ou trois fois par semaine, des séances à 350 euros, sont entièrement occupés par des étrangers financés par le contribuable français. Telle est la situation de notre pays.
Ne vous étonnez pas, ensuite, si le Front national réunit huit millions de voix.