Ce qui s’est passé dans d’autres pays européens nous interroge tous. C’est dans un premier temps de l’émotion, de l’effroi que nous ressentons. C’est pour cela que nous ne souhaitons pas abandonner nos politiques publiques et que nous voulons au contraire les renforcer comme nous l’avons fait dans les transports.
Je vous remercie de cette question parce que vous n’avez pas fait, vous, de ce sujet une polémique politicienne.