Madame la députée, les actes qui ont été commis par ces trois adolescentes dans un établissement de Seine-et-Marne relèvent de l’humiliation, de l’atteinte à la dignité et à l’intimité et des violences verbales. Ce sont des actes graves. C’est la raison pour laquelle je me suis rendue dès dimanche matin dans l’établissement pour rencontrer les victimes, qui font l’objet d’un suivi psychologique spécifique, les familles et les personnels.
L’établissement scolaire et l’EHPAD ont réagi extrêmement vivement, lorsqu’ils ont eu connaissance de ces faits. Je tiens également à souligner que ce sont d’autres élèves de la même classe qui les ont signalés, ce qui prouve bien qu’il faudrait se garder de toute généralité sur une génération.