Monsieur le député, vous venez d’évoquer, dans la conclusion de votre question, des états généraux de l’agriculture. Pendant tout le printemps et l’été, je n’ai cessé de réunir au ministère de l’agriculture l’ensemble des partenaires concernés. J’ai même obtenu un certain nombre de résultats… qui ont été ensuite remis en cause. Mais je me souviens aussi que, sur vos bancs, la première chose que l’on disait était : « Stop aux tables rondes, aux états généraux, place à l’action. » C’est pourquoi nous avons mis en place le plan de soutien à l’élevage, qui est entré en application.