Pour rappeler mes faits d'armes lors de l'examen de la loi NOME, j'ai toujours dit deux choses. La première est que l'on donnait trop de place au marché de capacité qui est potentiellement un marché spéculatif. Je le pense toujours. Je disais aussi que, plutôt que s'arc-bouter sur la capacité, il fallait privilégier l'effacement. Je vous renvoie aux propos que j'ai tenus alors dans l'hémicycle. Je considérais que l'effacement était le parent oublié dans cette approche, qui doit être vertueuse – et l'effacement est beaucoup plus vertueux que la capacité.