L’examen en nouvelle lecture du présent texte, après échec de la commission mixte paritaire, a occupé la commission des affaires sociales ces derniers jours. Laissez-moi souligner ce soir les points qui me paraissent essentiels, et qui ont parfois fait l’objet de débats nourris.
S’agissant tout d’abord des modalités de prise en charge des enfants en situation de difficulté, je sais, pour avoir été vice-président du conseil départemental de l’Aveyron pendant de longues années, que la charge financière, mais surtout la responsabilité morale de cette compétence est d’une lourdeur qu’il ne faut jamais minimiser pour les départements.