Le troisième élément est l'impact paysager. Je reconnais qu'il est différent selon que l'on habite un quartier parisien ou un territoire rural qui aura, sur sa ligne de crête, une éolienne ici et une autre là. Il y a également l'impact sur la biodiversité, auquel je crois qu'un écologiste devrait être sensible, sur la sécurité publique, sur le patrimoine archéologique, sur les sites remarquables et protégés… Les ZDE tenaient compte de ces dimensions, ce n'est pas le cas des ICPE.