Je vous remercie, madame la secrétaire d’État, pour cette réponse très complète. Je voudrais cependant préciser que l’accord de coopération signé en 2005 ne résout pas le problème des initiatives prises par les hôpitaux. Quand un hôpital prend l’initiative de faire pratiquer une IRM en Allemagne, l’opération est entièrement à sa charge. Il ne perçoit dans ce cas aucun remboursement, ce qui pose un réel problème.
Aujourd’hui, la coopération fonctionne très bien pour les urgences. Nul doute que nous pouvons faire un pas supplémentaire, pour le plus grand bénéfice des patients. Car ce qui nous intéresse, c’est de pouvoir présenter l’offre de soins la plus pertinente et la plus efficiente aux habitants de ce bassin de population.