Je vous remercie, monsieur le secrétaire d’État, pour ces éléments. Toutefois, étant donné que le latin passe du statut d’épreuve obligatoire à celui d’épreuve facultative et qu’il est mis en concurrence avec neuf autres possibilités, notamment des langues vivantes, je ne suis pas totalement rassurée par les propos que vous venez de tenir. Il me semble que le latin, qui est la langue mère, matricielle, mériterait un statut tout à fait particulier.