L’avis est défavorable. Je rebondirai sur les propos du secrétaire d’État : parfois, l’enfer est pavé de bonnes intentions. Vous avez raison d’évoquer la multiplication des labels. Depuis novembre 2014, un référentiel a été lancé ; il en est à ses débuts. Pour la qualité de l’information du consommateur, nous devons d’abord nous assurer que cette méthode fonctionne avant de créer une nouvelle obligation qui nous contraindrait à travailler de nouveau et, certainement, à perdre du temps.