Si l'action militaire ne peut résoudre la crise et si la population ne souhaite pas revenir à la situation précédente, il nous reste tout de même à ne pas être les complices volontaires ou involontaires de ceux qui font vivre l'État islamique par le commerce d'antiquités, de pétrole et d'armes. Daech n'étant pas un État replié sur lui-même et vivant en autosuffisance, comment pouvons-nous l'asphyxier financièrement ?