Mettons en chantier un projet pour l’agriculture française qui ne se réduise pas à la promotion des circuits courts – très importants au demeurant – et au développement des filières bio que nous encourageons tous et sur tous les bancs. Ainsi, qu’avons-nous à dire concernant les 80 % restants de la production agricole française ?
Qu’avons-nous à dire à ceux qui sont confrontés aux distorsions intra-européennes, aux pressions de la distribution et aux fluctuations des marchés d’export ? Il est, certes, plus facile d’enfoncer des portes ouvertes que d’explorer des sentiers en friche.