Mesdames, messieurs les députés, j’ai abordé ce débat avec le souci de répondre aux demandes et à la souffrance des agriculteurs. Cela ne peut faire l’objet de discussions : on ne saurait opposer ceux qui prendraient la mesure de cette souffrance à ceux qui ne la percevraient pas. Chacun, ici, a parfaitement conscience de la situation.