De la même manière, je l’ai dit, sous la présidence française de 2008, des questions essentielles ont été débattues. Je pense à la suppression des droits de plantation de vignes, que l’on a restaurés, ou aux droits à produire et aux quotas laitiers, qui constituent actuellement un enjeu important. Je souhaite donc que l’on soit honnête et sincère lorsqu’on évoque le débat européen. Si l’on veut faire bouger l’Europe, il faut savoir sur quel sujet on s’y emploie !