Les crises sectorielles sont traitées : 130 millions d’euros de crédits permettront de compenser les pertes de revenus des éleveurs touchés par la grippe aviaire dans le Sud-Ouest et 35 millions d’euros doivent indemniser les éleveurs et marchands de bestiaux touchés par la fièvre catarrhale ovine.
Les sujets structurels sont traités ; tous, bien sûr, ne sont pas résolus, mais ce n’est sans aucun doute pas par le retour à l’économie administrée que cette proposition de loi réclame qu’ils se régleront.