Madame la présidente, madame la ministre, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, la proposition de loi de notre collègue Christian Estrosi, déposée au début de la campagne des élections régionales et signée par l’ensemble des parlementaires de sa formation politique candidats à ces élections, a de fait plutôt l’allure d’un tract électoral que d’un document sur lequel l’Assemblée nationale pourrait s’appuyer pour travailler sérieusement à cette question essentielle qu’est le devenir de l’apprentissage.