Monsieur le président, monsieur le Premier ministre, chers collègues, le terrorisme islamiste nous a déclaré la guerre et a commis sur notre sol et à l’étranger des crimes abominables. Je n’ai donc eu aucun état d’âme, moi qui suis député de l’opposition, à soutenir les décisions prises pour éradiquer le terrorisme et protéger les Français.