Monsieur l'ambassadeur, votre mission s'inscrit dans les actions du ministère des affaires étrangères et du développement international qui, il y a un an, a mis en place les contrats de destination touristique dont certaines régions françaises ont pu bénéficier. Avez-vous cherché à articuler ce Grand Tour avec ces contrats ?
Ma deuxième question porte sur la langue française. Si notre pays veut s'ouvrir au monde entier, il ne peut se retrancher dans une position de défense de la pureté de la langue française ; d'un autre côté, notre langue fait partie de notre patrimoine et de nos impératifs culturels. Comment conciliez-vous ces deux dimensions ?
Enfin, notre commission est aussi celle du sport, comme l'a rappelé notre président. Dans l'intitulé le « Grand Tour », le clin d'oeil au Tour de France cycliste est évident, je le dis à l'adresse de toutes celles et de tous ceux qui s'évertuent à opposer sport et culture. La retransmission télévisée du Tour de France est une magnifique vitrine pour notre patrimoine culturel. Avez-vous pensé à vous rapprocher des organisateurs de cette épreuve ?