L’indignité nationale, qui frapperait tous les citoyens français condamnés pour un crime ou pour un délit constituant une atteinte grave à la vie de la Nation et qui exprimerait leur mise à l’écart de la communauté nationale est la solution alternative qu’avec d’autres je soutiens, dans le respect passionné du principe d’égalité et des droits fondamentaux consacrés par la Déclaration universelle des droits de l’homme ; elle pourrait être introduite avec la confiance des Français, de tous les Français, Français en France et Français du monde.