Vous multipliez les déclarations d’intention et les mesures d’urgence, mais vous ne réglez rien sur le long terme pour sauver l’agriculture française d’un naufrage annoncé.
Pour inciter les Français à manger français, il faut deux piliers. La qualité d’abord : ce sont les agriculteurs qui s’en chargent, et ce sont les meilleurs du monde. Des charges faibles et des prix compétitifs ensuite : c’est votre responsabilité et là, vous êtes les plus mauvais du monde.