ni celui présenté en conseil des ministres le 23 décembre dernier. Vous avez donc, monsieur le Premier ministre, posé les conditions d’un débat cacophonique.
La confusion que vous récoltez, c’est celle que François Hollande et vous-même avez semée. Sans modification de ce projet de loi constitutionnelle par la majorité sénatoriale, il pourrait même devenir plus difficile de déchoir de la nationalité après votre réforme.