Madame la présidente, madame la ministre, madame la présidente de la commission, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, je ne peux m’empêcher en commençant mon propos de dire combien j’ai été heureux de vivre – certes partiellement, car je ne suis pas « nombreux dans mon groupe »… (Sourires sur tous les bancs) – les belles heures de débat que nous avons vécues ces derniers jours.
C’est la première fois depuis que je suis à l’Assemblée nationale que j’ai assisté à un débat politique tel que je l’avais toujours rêvé. Il y a bien longtemps que nous n’avions pas fait de politique ainsi et cela nous fait honneur. Lorsque quelque chose de bien nous arrive, il n’est pas inutile de le dire.
Madame la présidente, s’agissant du texte qui nous réunit, j’aurais bien aimé dire ce que Dominique Potier vient d’exprimer avec tant de talent. Je n’ai rien à en retirer ni à rajouter. Aussi, cela me permettra-t-il de parler un peu d’autre chose