…et que j’ai beaucoup aimé votre père – je ne suis évidemment pas le seul – qui m’a fait beaucoup rire mais aussi pleurer, du temps où je savais pleurer. Maintenant, je rengorge mes larmes – jusqu’où iront-elles ? – mais je pleurerai à nouveau sans doute puisque la vieillesse me guette.
Je trouve que vous êtes très humain.