Je vous remercie, monsieur le secrétaire d’État, de votre réponse détaillée. Nous verrons quel sera l’avenir.
Vous avez compris que c’était le site de Berlaimont qui m’intéressait. J’ai la plus grande estime également pour l’industrie de la Moselle mais, comme la rumeur a circulé, je précise que la solution ne pourra pas être le transfert de la presse de Berlaimont à Thionville et donc la disparition de Berlaimont au bénéfice de Thionville mais qu’il s’agit de préserver les deux unités.