Merci de cette réponse qui évidemment ne me satisfait qu’à moitié, madame la secrétaire d’État. L’arrêt complet des liaisons aériennes entre Strasbourg et Paris constituerait un affaiblissement considérable du statut de capitale européenne de Strasbourg, mais aussi de notre compagnie aérienne, dont la présence dans le Grand Est pourrait être menacée à moyen terme. L’État actionnaire devrait aller au-delà de ce que je considère encore comme une simple déclaration d’intention.