C’est vrai que les agriculteurs français sont soumis à une sédimentation de normes qui sont parfois plus exigeantes que la réglementation communautaire. Dans le secteur de l’élevage, depuis le début de cette législature, nous n’avons pas ajouté de normes, mais nous en avons plutôt supprimé. Nous allons étendre aux élevages laitiers et bovins ce que nous avons déjà fait pour les créations ou les extensions d’élevages porcins ou de volaille. Nous le ferons bien sûr sans moins-disant environnemental.
Aujourd’hui, grâce à la France, le Conseil et la Commission européenne sont remobilisés depuis lundi dernier.