C'est un compromis. La négociation doit avoir lieu dans la confiance et la loyauté.
Nous souhaitons, et je le dis en dépassant mon temps de parole, ce dont je vous prie de m'excuser, monsieur le président, – Michel Sapin, Pierre Moscovici et moi-même souhaitons que cette négociation ne soit pas un chantage, mais un échange de concessions réciproques loyales. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)