Ce débat n’est pas mince et mérite d’être posé dans l’examen d’un texte tel que celui que nous examinons aujourd’hui. Je partage pleinement la préoccupation et les objectifs d’Éric Ciotti et de Yann Galut. J’adhère aux explications particulièrement solides, charpentées et équilibrées que Yann Galut a données, à la philosophie qui anime toutes celles et ceux qui recherchent des solutions pour que nous ne soyons plus confrontés à ce type de blocage au nom d’une pseudo-défense des libertés, que l’on nous sert à toutes les sauces pour justifier l’injustifiable.