Que les choses soient claires : lorsque l'on nous a conseillé au Quai d'Orsay de ne pas rencontrer le capitaine Sanogo, nous avons immédiatement pris les dispositions nécessaires pour qu'il en soit ainsi. Nous respectons totalement les impératifs politiques et diplomatiques. Mais on nous avait demandé, dans un premier temps, d'attendre pour nous rendre au Mali, au motif que c'était trop tôt. On voit aujourd'hui ce qu'il en est !