J'ai eu grand plaisir à vous écouter, madame l'ambassadrice, car j'ai retrouvé le style inimitable du Quai d'Orsay, que vient d'évoquer mon collègue de la majorité. Malgré toutes les précisions que vous avez apportées, je n'ai toujours pas compris pourquoi nous devons attendre avant de lever les sanctions : quel est l'argument ?
À un moment donné, la France était en effet très énervée. Dans l'opposition, nous avons dit qu'il aurait peut-être été utile de parler plus tôt à M. Poutine.