Vous avez évoqué le travail de l'OSCE, en particulier sur les questions de sécurité. Or nous nous interrogeons sur la réalité de ce qu'affirment les observateurs de l'OSCE. Ils nous disent qu'ils ne peuvent pas accéder à certaines zones, les parties ne facilitant certes pas leur travail. Pourtant, nous savons qu'ils disposent de moyens d'observation. Nous ne comprenons pas vraiment : feraient-ils l'objet de pressions ? Par exemple, au moment où l'Union européenne redéfinit sa stratégie, peut-être les États baltes n'ont-ils pas intérêt à ce que la situation se règle tout de suite ?