Les sanctions individuelles visent des parlementaires russes, notamment le président de la Douma. Elles ont suscité une réaction des Russes en retour : un président de groupe politique a été interdit de séjour en Russie, ce qui a amené le président de l'Assemblée nationale à annuler la visite qui était prévue à Moscou pour la réunion de la Grande Commission parlementaire France-Russie. Si l'on devait s'acheminer vers une levée des sanctions individuelles, ne pourrions-nous pas le faire en priorité pour les parlementaires russes ?