Du point de vue juridique, l'unanimité est nécessaire pour reconduire les sanctions. Mais cette question est tellement politique, ainsi que nous l'avons constaté lors des discussions au sein de l'Union européenne en décembre et encore aujourd'hui, qu'un consensus est de facto nécessaire pour mettre fin aux sanctions, soit au niveau du COREPER, soit, à défaut, au Conseil des ministres, soit, en dernier recours, au Conseil européen, au nom de notre attachement à l'unité européenne