Pensez-vous, comme votre prédécesseur, qu'il faille tenir Bachar al-Assad éloigné de la table de négociation, ou l'intégrer dans les discussions, sachant qu'elles devront aboutir à son remplacement – autrement dit, faire de son départ un aboutissement et non un préalable, comme je l'avais préconisé dans un rapport rendu il y a un an au nom de notre commission ?