À propos d'Israël et de la Palestine, la diplomatie française avait engagé un processus ; quel sera votre engagement personnel à ce sujet ?
La Tunisie, contre-miroir de Daech est le seul pays arabe où, depuis la « révolution du jasmin », l'évolution vers la démocratie a une chance fragile d'aboutir. Mais elle connaît de graves difficultés, qui sont de deux ordres : des infiltrations de Daech depuis la Lybie d'une part, un insuffisant développement territorial d'autre part. Alors que l'Union européenne, la France et l'Italie ont pris des engagements visant à soutenir la Tunisie, rien ne semble bouger. Les fonds existent mais, faute de projets, ils ne sont pas utilisés. Comment permettre que les ressources promises à la Tunisie lui parviennent et servent leur double objet – le développement du pays et l'amélioration de sa sécurité ?