Vous avez dit, monsieur le ministre, que rien ne sera possible en Libye aussi longtemps qu'un gouvernement d'union nationale n'aura pas été constitué. Mais étant donné l'atomisation du pays, cette perspective tient toujours davantage de l'utopie. Alors, existe-t-il un « plan B » ? D'autre part, la presse a fait état de la présence de soldats français en Lybie ; qu'en est-il ?