Mme Joëlle Huillier et M. Pascal Terrasse ont très bien expliqué les motivations qui visent à rattraper un raté. Ce cas précis montre qu’il faut toujours manier le 49-3 avec beaucoup de prudence, puisque nous avons là une conséquence du recours au 49-3 pour l’adoption de la loi Macron. Finalement, moins on utilise le 49-3, et mieux l’on se porte. Je dis cela pour le passé, comme pour l’avenir.