ont été placés en garde à vue.
Aujourd’hui, se pose la question de la responsabilité de ceux qui décident de lever l’hospitalisation d’office, qui assurent le suivi psychiatrique de personnes connues et identifiées pour être particulièrement dangereuses. On sait qu’il y a des problèmes majeurs, on sait qu’il y a un déficit de moyens, on sait que des personnes sont placées en détention alors qu’elles relèvent d’un suivi psychiatrique.
Monsieur le Premier ministre, je veux attirer votre attention sur cette question, sans polémique,…