…et nous avons donc convenu de l’aider pour que les réfugiés de la guerre de Syrie puissent rester au plus proche de leur pays, en Turquie, au Liban ou en Jordanie. Nous sommes prêts à aider la Turquie non pas en abondant son budget mais en donnant de l’argent au Haut-commissariat aux réfugiés, aux organisations humanitaires et aux agences des Nations unies concernées.
Concernant l’ouverture de chapitres de négociation, aucune adhésion n’est prévue. Il y a des critères à respecter. Vous avez ouvert des chapitres, nous en ouvrons. Mais de toute façon, comme le Président de la République l’a rappelé, il ne peut y avoir d’adhésion sans une consultation du peuple français. La position de la France sur ce point est connue.