Je voudrais, comme Georges Fenech l’a fait très justement avant moi, saluer le président Roger-Gérard Schwartzenberg. En effet, sans la compréhension du groupe radical, républicain, démocrate et progressiste, nous n’aurions pas le plaisir de discuter de cet excellent texte. C’est la preuve qu’il est utile que le Parlement partage la fixation de l’ordre du jour avec le Gouvernement : il le fait ici à bon escient. Merci encore, monsieur le président !