Madame la présidente, madame la secrétaire d’État, madame la rapporteure, chers collègues, je suis désolé d’arriver en retard : c’est l’avion... Je n’ai pas pu écouter les autres orateurs, et je ne sais donc pas qui est pour ou contre ce texte. Mon avis à moi est assez particulier, fondé sur des années de souffrances liées à cette problématique.
Tout d’abord, je me réjouis du rétablissement en commission de l’interdiction des insecticides de la famille des néonicotinoïdes, ce qui permettra certainement – si vous arrivez à aller jusqu’au bout, ce qui n’est pas gagné – de sauver nos abeilles. J’espère que cette mesure sera définitivement adoptée.