Je souhaitais déjà intervenir sur le précédent amendement, madame la présidente, mais vous n’aviez pas vu que j’avais levé la main.
Nous parlons du principe de complémentarité entre la biodiversité et l’agriculture ou l’aquaculture, ainsi que des questions d’agro-écologie. Au début de l’examen du texte, je considérais l’introduction de ce principe comme une lourde erreur, car la notion qu’il sous-tend me paraissait inadaptée à l’objectif que nous défendons. Comme l’illustre le présent amendement, la liste peut en effet s’allonger. Aussi le remplacement du mot : « agriculture » par le mot : « agro-écologie » me semblait-il plus sensé.
L’aquaculture fait en effet partie des activités agricoles : évitons d’allonger la liste. Je défendrai à ce sujet un amendement de précision sur le contenu même des activités visées : comment des activités destructrices des sols ou de l’environnement pourraient-elles s’inscrire dans la complémentarité ?