En revanche, on ne peut, comme le souhaitent les auteurs de ces amendements identiques, mettre sur le même plan la préservation de la biodiversité, des milieux et des ressources, d’une part, et, d’autre part, le gain économique, les valeurs d’usage, qui sont, comme je l’ai expliqué tout à l’heure, la valeur qu’une personne attribue à un bien en fonction de ses besoins propres.
J’ajoute que la préservation de la biodiversité, des milieux et des ressources est l’un des cinq engagements détaillés au III de l’article L. 110-1 du code de l’environnement et permettant d’atteindre l’objectif de développement durable. Il est préférable de s’en tenir là plutôt que d’ajouter des éléments qui n’ont rien à faire à cet endroit.