Ma question s’adressait à M. le Premier ministre : en exigeant de ses partenaires européens qu’ils prennent mieux en compte les intérêts britanniques, le Royaume-Uni ne formule pas une requête nouvelle ! Mais pourquoi, nous, Français, n’osons-nous pas, je dis bien n’osons-nous pas, porter plus haut nos intérêts à Bruxelles ?