Nous sommes favorables à l'instauration d'un service public de la petite enfance, qui ne serait pas une hiérarchie centralisée de fonctionnaires mais permettrait de définir une mission publique de la petite enfance qui concernerait l'ensemble des professionnels. Nous pourrions dans ce cadre réfléchir au taux d'encadrement dans les crèches, qui renchérit le coût de l'accueil – jusqu'à 30 000 euros pour l'ouverture d'un berceau !
Y a-t-il lieu pour la France de s'inspirer des exemples étrangers ?