Je voudrais à mon tour soutenir cet amendement, non pour le rapport que doit établir l’Agence pour la biodiversité mais pour l’instauration de quotas pluriannuels préconisée par Gilles Lurton. Cela répondrait à la demande récurrente des pêcheurs, soucieux d’assurer à leur entreprise une bonne visibilité. Actuellement les quotas de pêche et les taxes sont négociés à Bruxelles chaque année, mais cela devrait changer dans les années qui viennent.
Si ce n’est pas l’Ifremer ou toute autre instance, le Conseil supérieur d’orientation des politiques halieutique, aquacole et halio-alimentaire pourrait être chargé de cette mission, et non l’Agence française pour la biodiversité.