Je vous trouve d’autant plus admirable, madame Abeille, que vous vous êtes souvent retrouvée toute seule face au Gouvernement en commission. Je vous le dis très honnêtement : ce que vous faites est très courageux, d’autant que très souvent vous n’êtes même pas épaulée par le groupe écologiste – on verra ce qu’il en sera à la fin de nos débats – ! Je respecte ce courage.
Quoi qu’il en soit, madame la rapporteure, j’aimerais que d’ici la fin de nos débats vous nous épargniez ce genre de remarques inutiles.