En tout cas, ce n’est pas dans cette assemblée que nous devrions avoir ce débat, mais à l’Organisation mondiale de la santé. Nous agissons comme si nous étions seuls au monde.
Le retour au texte initial du Gouvernement est une bonne solution. À titre personnel, je me félicite de la tentative de conciliation de notre collègue Philippe Vigier, qui propose même d’ajouter dans la boucle le ministre de la santé, en plus du ministre de l’agriculture. Nous serions raisonnables de trouver une solution de compromis pour encadrer l’usage de ces néonicotinoïdes, au lieu d’être les seuls au monde à les interdire.